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Monday, June 10, 2013

Pierre-Olivier Combelles


The Mark, the Name, the Number of the beast and the Tower of Babel = Ecumenism

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Mercredi 5 juin 2013


Parce que le CAPES de lettres classiques a été hier remplacé par un CAPES de lettres « à option lettres classiques » ; parce que le latin et le grec qui partent, c'est la langue française qui meurt un peu, l'agrégé de lettres modernes – treize ans de latin quand même – que je suis reprend ci-dessous, sans l'assortir du moindre commentaire, le prémonitoire et très bel article qu'avaient publié dans Le Monde, en août 2010, quelques-uns de ses éminents collègues de lettres classiques : « Langues anciennes, cibles émouvantes ».


« La stratégie visant à éradiquer le grec et le latin de l'école publique entre dans sa phase terminale, avec la suppression programmée du Capes 
de lettres classiques, concours principal pourvoyeur des professeurs de langues anciennes dans les collèges et lycées de France. Membres du jury de ce défunt concours, nous avons devant nous ce qui semble devoir être la dernière génération de professeurs de grec et de latin.

« Il y aura, dès le mois de novembre, un Capes de lettres classiques flambant neuf, sans latin ni grec... Tout au plus les candidats auront-ils à se fendre de quelques bribes de versions, comme nos collègues de lettres modernes traduisent parfois un peu d'anglais. Fi des explications de Virgile, Horace, Sénèque, Cicéron, Euripide, Eschyle, Platon... Place au contrôle de l'éthique du fonctionnaire et à l'épreuve reine : le commentaire d'une photocopie de manuel scolaire...

« Aucune autre discipline n'a eu droit à un traitement aussi privilégié ; partout ailleurs, la réforme des concours a tout de même laissé debout quelques épreuves qui permettent encore de vérifier la compétence des candidats dans la discipline qu'ils s'apprêtent à enseigner ; partout... sauf en langues anciennes. Aucune volonté politique établie, aucune logique de rentabilité, aucun impératif économique...

« Une commission de réforme des concours se réunit en petit comité ; un inspecteur général y représente les lettres, négocie les nouvelles épreuves, sans latin ni grec ! Chagrin de notre inspecteur : "Je fis ce que je pus pour vous pouvoir défendre..." Le ministre valide, pas de risque de professeurs ou de gamins dans la rue pour sauver Homère et Tacite, et d'un trait de plume des disciplines entières disparaissent des écrans de contrôle, sans le début du commencement d'une justification.

« Un peu d'histoire : depuis trente ans, des "hommes de progrès", plutôt bien représentés au sein du ministère, et de son inspection générale des lettres en particulier, luttent contre ces fléaux de l'élitisme, du conservatisme et de l'inutilité que constitueraient le grec et le latin. Aucune fracture droite-gauche à chercher : les pragmatiques comme les révolutionnaires y trouvent leur compte.

« Ils avaient d'abord voulu agir sur la demande (les élèves et leurs familles), en proposant des horaires stimulants (latin pendant le déjeuner, grec le mercredi après-midi), des innovations audacieuses (seconde, première et terminale regroupées en une seule classe), la technique dite du "supermarket" ("Alors on vous propose la classe sportive, ou la classe numérique, ou la classe européenne, ou la classe musique, ou la classe d'excellence artistique, ou la classe sciences de l'ingénieur, ou alors du latin...").

« Mais tous ces efforts se révélèrent peine perdue. Il restait, à la rentrée 2009, un demi-million de petits néoréactionnaires qui s'entêtaient à vouloir étudier le grec et le latin dans les collèges et lycées de France. Plus grave : dans un contexte où les supposées élites se détournent massivement de l'étude des langues anciennes au profit d'options jugées plus modernes (classe européenne, cinéma, chinois...), le grec et le latin sont en train de devenir l'un des rares endroits où les élèves les plus fragiles peuvent bénéficier de ce grand luxe dans l'école d'aujourd'hui : du temps.

« Du temps pour comprendre l'orthographe des mots, la grammaire d'une langue, l'évolution d'une écriture, du temps pour l'essentiel. La diminution drastique des horaires de français dans le secondaire rend ces matières indispensables, du moins pour ceux qui ne peuvent apprendre le français là où on l'apprend désormais : non plus dans une classe, mais dans sa famille.

« Dans cette étoffe d'incohérence que constitue une journée de cours pour un lycéen d'aujourd'hui, le grec et le latin confèrent une unité à cet ensemble, notamment pour ceux qui n'ont personne autour d'eux pour les aider à s'orienter dans le dédale des filières et des options. Pouvoir retrouver l'étymologie de tel nouveau terme scientifique, tel symbole mathématique familier, tel mythe revu et corrigé par un auteur du XXe siècle, telle racine indo-européenne commune à l'allemand et à l'espagnol : ou comment une journée de cours s'ordonne autour d'une langue ancienne.

« Le grec et le latin, instruments de l'égalité des chances, vecteurs de réussite scolaire pour les plus démunis ! Il fallait agir ! Supprimer les élèves prendrait du temps, le plus simple est qu'ils n'aient plus de professeurs. Cette décision devenait d'autant plus urgente que commence à se dessiner aujourd'hui le bilan des "hommes de progrès" qui ont, depuis quelques décennies, la haute main sur l'enseignement des lettres.

« Un bac français où a désormais cours la notion de "compréhension phonétique" de la copie, des professeurs de langues vivantes, de sciences, bloqués dans leur progression par les lacunes abyssales des élèves en français, des universités instituant un peu partout des modules de rattrapage accéléré en grammaire et en orthographe pour les jeunes bacheliers, des élèves incapables de trouver les mots, prisonniers de codes langagiers qui font peut-être les délices des scénaristes et des publicitaires mais s'avèrent assez discriminants dans les entretiens d'embauche.

« Effectivement, mieux vaut que les élèves n'entendent pas trop parler de l'Athènes antique, où les hauts fonctionnaires étaient astreints à rendre compte de leur gestion au sortir de leur charge...

« C'est dire la responsabilité qui échoira à ces derniers jeunes professeurs de lettres classiques qui, dans un mois à peine, seront projetés dans les eaux troubles des classes de collège avec la lourde charge d'y faire exister le grec et le latin. C'est là-bas plus qu'ailleurs que ces matières devront apporter la preuve de leur légitimité et de leur nécessité. Ils nous trouveront à leurs côtés dans cette entreprise. Universitaires, formateurs, professeurs, c'est à ce combat-là que nous allons désormais consacrer toutes nos forces, loin des jurys de concours où nous laisserons à d'autres la délicate besogne d'abandonner l'étude des "poètes impeccables" pour le contrôle, plus inattendu, des "collègues impeccables".

« Car nous sommes convaincus qu'il y a plus que jamais en France une demande d'école, une demande d'exigence, d'ambition et de dépaysement, et que le grec et le latin sont les mieux placés pour y répondre. Dans un système qui ne fait qu'accroître les inégalités entre les familles, où l'on explique aux élèves boursiers : "On va vous faire passer des concours différents parce que vous êtes pauvres", dans un système qui abandonne, sans combattre, ses principes fondateurs aux établissements privés, nous ne comptons pas vraiment abdiquer "l'honneur d'être une cible". »


Michèle Gally, professeur des universités (Aix-Marseille) ;
Malika Bastin-Hammou, maître de conférences (Grenoble) ;
Emanuèle Caire, professeur des universités (Aix-Marseille)
Sabine Luciani, professeur des universités (Grenoble) ;
Bénédicte Delignon, maître de conférences à l'ENS (Lyon) ;
Anne de Crémoux, maître de conférences (Lille) ;
Danièle Sabbah, professeur des universités (Bordeaux) ;
Thomas Guard, maître de conférences (Besançon) ;
Anne-Marie Favreau-Linder, maître de conférences (Clermont-Ferrand) ;
Pascale Barillot, professeur de lettres classiques (Versailles) ;
Laure Echalier, maître de conférences (Montpellier) ;
Anne Vialle, professeur en classe préparatoire (Bordeaux) ;
Michèle Gueret-Laferte, maître de conférences (Rouen) ;
Augustin d'Humières, professeur de lettres classiques (Créteil).

Source: A la fortune du mot, blogue de Bruno Dewaele, champion du monde d'orthographe

L'article reproduit sur le blog de Bruno Dewaele est illustré par cet excellent dessin tiré d'Astérix. Une remarque, quand même: on voit le druide Panoramix en train de préparer un chaudron de potion magique pour aider les gens de son village à combattre leurs ennemis: Romains, Vikings, Goths, etc. Mais le latin était-il la langue des Celtes et des Gaulois ? Non, c'était le gaulois et les langues celtiques, même si le Bretons qui avaient fui la Grande-Bretagne après sa conquête par les Saxons et qui s'étaient installés dans la Bretagne actuelle étaient déjà christianisés et romanisés. Des langues qui représentaient une culture et une pensée totalement différentes de celles des Romains.

La France moderne, qui agonise aujourd'hui, a été construite sur l'héritage gallo-romain, puis sur la Renaissance et sur la Révolution française, toutes deux inspirées aussi du monde gréco-latin. Le vieux fonds gaulois et celte a été constamment opprimé au cours des siècles, comme il l'est encore aujourd'hui par l'ordre politique et la culture judéo-américano-anglo-saxonne, qui est animée par une volonté d'hégémonie mondiale.

Le combat de ceux qui défendent la langue française est parfaitement légitime. Mais il ne doit pas nous faire oublier nos racines lointaines, car ce sont les seules qui peuvent nous permettre de survivre à ce chaos et nous rattacher en même temps au déplacement du centre politique et culturel mondial qui est revenu en Asie. Asie où les formes les plus anciennes de la spiritualité et de la religion de l'humanité subsistent dans le taoïsme et le shintoïsme par exemple.Car ces sagesses immémoriales sont l'expression de l'ordre du monde lui-même, que les Gaulois et les Celtes respectaient. Ainsi le chaos actuel peut nous permettre de renouer avec nos origines les plus profondes et nous rapprocher en même temps de tous les peuples de la terre que l'occidentalisme a voulu et veut toujours fondre dans le même moule artificiel. P.-O.C

Source: In the destiny of word, blogue of Bruno Dewaele, World champion of orthography

The article reproduced on the blog of Bruno Dewaele is illustrated by these very good drawings drawn by Astérix. A remark, really: they see the druid Panoramix preparing a caldron of magical potion to help people of his village to fight their enemies: Romans, Vikings, Goths, etc. But was the Latin the language of the Celts and Gaulishes? No, it was Gaulish and Celtic languages, even if Bretons who had escaped Great Britain after its conquest by the Saxons and who had become established in actual Brittany were already Christianized and romanisés. From languages which represented a culture and a thought completely different from those of the Romans.

Modern France, which is dying today, was constructed on Gallo-Roman inheritance, then on Renaissance and on French Revolution, both inspiring also of the gréco-latin world. The old Gallic and Celtic fund was always oppressed in the course of the centuries, as it is even today it by political order and judéo-américano-anglo-saxonne culture, which is enlivened by a will of worldwide hegemony.

The battle of those who defend the French language is perfectly legitimate. But he should not make us forget our distant roots, because it is the only ones who can allow us to survive this chaos and attach us to the displacement at the same time of the worldwide political and cultural centre which returned in Asia. Asia where the most ancient forms of spirituality and religion of the humanity remain in the taoïsme and Shintoism for instance. Because this immemorial wisdom is expression in the order of the very world, that Gaulishes and Celts respected. So actual chaos can allow us to go back to our deepest origins and bring closer to us all people at the same time of the earth which the occidentalisme wanted and always wants to melt in the same artificial mould. P.-O.C

In the article that P.O. Combelles comments on, the destruction of classical education is bewailed by him, but P.-O.C's conclusion in all wrong. He claims that there is no truth in the Biblical Revelation of God, Old and New Testaments, but it is only oppression of all the nice ancient pagan Celts and Gauls and Chinese and Japanese. This is of course all wrong. The most ancient Religious Revelation is only God's Himself as He relays to us in the Bible from Adam to the last Saint, saved only by Jesus Christ Our Lord and Saviour. In total contrast to God's truth, the Celts and Gauls were headhunters and the Celts threw human sacrifice into peat bogs while the ancient Chinese enslaved and murdered millions and the Japanese committed genocide against the Ainu; while they all worshipped murderous idolatrous false gods at the instigation of Satan. 

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